Blue Love - #2

Mon addiction pour le bleu continue. Après avoir succombé l'automne dernier, je récidive. Je veux du bleu. Du petit pull crochet bleu moyen à la blouse bleu marine en passant par le t-shirt tout léger bleu ciel, j'ai envie de tout ce qui est bleu. Des pièces sobres, basiques, faciles à associer et intemporelles.

Ma sélection de pièces dans la tendance azur (avec craquage déjà effectué pour certaines et imminente pour d'autres) avec une mention spéciale pour Esprit, une marque dont on parle peu mais qui possède des pièces vraiment sympas.

1- Top en soie bleu La Fée Maraboutée
2- T-Shirt bleu ciel en lin Esprit
3- Pull en maille bleu moyen Esprit
4- Blouson en jean Esprit
5- Blouson en cuir bleu clair Naf-Naf

Bisous !

Le virage

Un mois et demi sans article, bouuuuh ! Ça mérite bien une petite explication. Si je suis moins présente depuis plusieurs semaines, c'est que je suis en train d'amorcer un virage professionnel : le poste que j'occupe ne me satisfait plus du tout à cause d'une sale ambiance dans ma boîte depuis l'arrivée d'une collègue manipulatrice et malsaine et d'une non-reconnaissance totale de mon travail (vous savez bien, la com' ça sert à rien !), en grande partie due à cette fameuse collègue. 

Après avoir douté et perdu confiance en moi (les manipulateurs ont le don de vous faire culpabiliser), j'ai compris que le problème ne venait pas du tout de moi et qu'il fallait absolument que je cherche du boulot ailleurs, au risque d'y laisser ma santé. Rien ne justifie de tomber malade à cause d'un travail. Après avoir lu quelques articles sur le sujet, j'ai compris qu'il fallait simplement que je m'éloigne définitivement de cette personne malsaine, menteuse, égocentrique et hypocrite.

Du coup, il y a quelques jours, j'ai passé 2 entretiens pour un poste super intéressant, avec de belles perspectives. Un job qui, à la fois, m'excite et me fait totalement flipper (vais-je être à la hauteur ? Ai-je vraiment les compétences ?). Je suis aujourd'hui en short-list, le patron doit me recontacter. J'ai longuement pesé le pour et le contre et interrogé mes proches : cette fois c'est décidé, si je suis choisie, je fonce. Je vais avoir 32 ans : si je dois évoluer, c'est maintenant ou jamais.

Peut-être que je vais lamentablement me planter et aller pointer chez Paul (emploi) dans quelques mois, mais tant pis : je suis prête à prendre ce risque. Même si je vais faire plus d'heures, je m'en fous : j'en peux plus de cette ambiance malsaine, de ce climat de suspicion, des petites remarques blessantes et dédaigneuses de mon patron. Qu'ils aillent se faire foutre, lui et cette collègue malsaine : je rêve de leur annoncer ma démission. Patience.

Chéribibi me soutient : "relever les défis, c'est toi !". Cette phrase m'a mis les larmes aux yeux. Et si je n'y arrive pas ? J'ai peur. 

Bon, il faut déjà que je sois choisie pour ce nouveau poste.

Je reviens très vite, beaucoup plus vite cette fois, pour vous donner des nouvelles.

Ah oui, j'allais oublier : je vous aime ! :)