2/2 Ma semaine de célibataire sans enfant - suite et fin

Comme promis, voici la suite de ma trépidante semaine sans chéri ni enfant ! (pour relire l'épisode 1, c'est par ici).

 

- Jeudi (jour 4) : j"arrive au boulot avec seulement 5 minutes de retard : youhou, je progresse !

Journée de merde, patron de mauvaise humeur, sale ambiance...Je n'ai qu'une hâte : rentrer chez moi et retrouver mon chéri et mon petit loulou. Ah non, c'est vrai, ils sont pas là. Zut alors. Ah non pas zut vu que c'est ma super-semaine-de-liberté-sans-chéri-ni-enfant. Ma semaine de liberté totale vachement chouette.

Je rentre donc à la maison et effectivement, je suis bien seule. Toute seule.

Toujours pas envie de me faire à manger, alors je grignote des biscuits apéros et quelques ferreros rochers. Nickel pour la ligne et top pour la santé, bravo Becky, tu vas réussir à exploser ton record de malbouffe en 4 jours !

1/2 J'ai testé : redevenir célibataire sans enfant pendant une semaine

Cette semaine, je redeviens "célibataire sans enfant" : chéri parti en déplacement jusqu'à vendredi et loulou chez papy-mamie, j'ai gagné une semaine de liberté. Une semaine à n'avoir qu'une seule obligation, un seul et unique sujet de préoccupation : MOI.

La liberté totale, le panard intégral : pas besoin de courir pour aller amener/chercher loulou chez la nounou, pas de réveil tôt le matin, pas de "chérie keskonmange ce soir ?". J'avais du temps pour moi et m'en délectais d'avance.

Je me suis dit que ça pourrait être sympa de vous faire partager cette semaine (ou pas, mes stats le diront...haha). Alors depuis lundi, je tiens un petit journal de bord histoire de vous raconter en détails cette...expérience.

- Lundi (jour 1) : sensation bizarre en ouvrant les yeux le matin : pas de babillements de bébé, pas de bib à donner, pas de sac à langer à préparer, pas d'arrêt-nounou. Chouette, j'ai le temps ! Du coup, je traîne pour prendre mon petit dej, et je prends tellement mon temps que fuck, j' suis à la bourre. Je dis en vitesse au revoir à chéribibi, lui souhaite une bonne semaine sans moi ('tention j'tai à l'oeil) et file au bureau, en ayant l'impression bizarre d'avoir oublié quelque chose.

Le soir, comme personne ne m'attend à la maison après le boulot, je file directement faire quelques courses. Là, c'est le pied : à 19h dans mon hypermarché, personne au rayon jouet, personne à la caisse, j'ai tout le magasin pour moi.

En rentrant, je décide de faire honneur au célèbre adage "quand le chat n'est pas là, les souris vont au MacDo" (Chéribibi détestant le fast-food). Je choisis un MacBacon et un croque-macdo. Je suis déçue par le croque-macdo qui n'a rien de croquant et qui devrait plutôt s'appeler le toumou-macdo. Je pense immédiatement à chéribibi et comprend pourquoi il n'aime pas le fast-food : c'est vrai, c'est quand même pas terrible. 

5 tendances que je ne suivrai pas cet hiver

J'ai eu envie d'écrire ce billet en lisant cet article expliquant que la claquette de piscine était super tendance. Si si. Et si en plus vous osez porter cette paire de trucs immondes avec des chaussettes, c'est bon, vous êtes la nouvelle Alexia Chung.

Non mais seriously : la claquette de piscine, c'est tendance ?? Mais où ça, à part sur les podiums ?? Nan parce que je sais pas vous, mais moi si je sors comme ça dans la rue, je sais d'avance que les gens vont me jeter des cacahuètes et pas se dire "wahou la classe la nana, elle a mis des claquettes en plastique, c'est le top du fashion à New-York City, je l'admiiiiiire !!"

En gros, tout le monde reconnaît que c'est moche, mais comme un créateur a eu l'atroce l'incroyable idée de faire défiler un mannequin dans cet accoutrement, la presse mode crie au génie. 

Les claquettes de piscine en plastique. Non mais au secours.

Ca me fait une belle introduction pour vous lister les tendances actuelles que je n'adopterai pas, même si on les voit partout sur les blogs ou dans les magazines. Tant pis, j'assume :

- la tendance "graou" : pas de bol, je n'aime pas les imprimés animaliers, surtout les motifs léopard ou panthère qui sont pour moi le comble du vulgaire. Ca me fait penser à une péripatéticienne, désolée.